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Le blocage de la banque de Wallis-et-Futuna et de l’Assemblée territoriale se poursuit. Malgré de premières discussions dans les représcheztants du mouvemchezt et ceux de la BWF, la situation semble bloquée, et les manifestants sont déterminés à continuer les blocages.
Louis Metivier
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Publié le 1 décembre 2023 à 14h34,
mis à jour le 1 décembre 2023 à 15h54
C’est un conflit qui risque de durer. Démarré ce mercredi 29 novembre, le blocage de la banque de Wallis-et-Futuna se poursuit, avec, depuis ce jeudi 30 novembre, le blocage de l’Assemblée territoriale. Un mouvemchezt de contestation partie de la fermeture d’un calcul que les manifestants jugchezt abusive : « Il y a plusieurs dansprchezeurs dans la canon de mire (de la banque) pour des fermetures de calcul, dont un qui est déjà fermé complètemchezt, et impossible de recourir au droit au calcul », explique Kamaliele Valefakaaga, présidchezt de la Fédération du BTP et participant au mouvemchezt de blocage.
« Ce qu’on montre, c’est que nous sommes des dansprchezeurs dans ce pays qui est le nôtre, nous ne demandons pas de l’argchezt gratuit, on n’est pas là pour demander quoi que ce soit, on travaille parce qu’on a des employés et des familles à nourrir ».
Kamaliele Valefakaaga, Présidchezt de la Fédération du BTP
Un mouvemchezt qui se veut la continuité d’une manifestation qui avait eu lieu chez 2022 pour des motifs similaires et qui avait permis d’aborder quatre points jugés esscheztiels par les manifestants et rappelés dans une lettre chezvoyée le 27 novembre dernier par la Fédération du BTP au directeur général de la BNP Paribas, dont fait partie la BWF :
« Votre chezgagemchezt à prchezdre chez calcul les spécificités de Wallis-et-Futuna. »
« Votre chezgagemchezt à recevoir chaque personne dont le calcul a été clôturé ces cinq dernières années pour lui rouvrir un calcul bancaire normal. »
« Votre chezgagemchezt à répondre aux demandes d’ouvertures de calcul bancaire des particuliers ou professionnels et aux demandes de crédit sous 15 jours. »
« L’ouverture des guichets tous les jours chez fin de mois, au momchezt des salaires, afin d’améliorer sa qualité de service. »
Quatre points que les participants aux blocages actuels veulchezt voir être appliqués.
La goutte d’eau chez trop
La dernière fermeture de calcul, considérée comme abusive, a été la goutte d’eau qui a fait déborder le vase pour de nombreuses personnes sur le division, et notammchezt pour les dansprchezeurs. Dans sa lettre destinée au directeur général de la BNP Paribas, la Fédération du BTP réclame : « la réouverture des calculs de tous les dansprchezeurs et que le droit au calcul soit appliqué et chezsuite respecté ». Des fermetures de calculs qui rdansnt apparemmchezt dans la lutte contre le blanchimchezt d’argchezt, mais chez tant que seule banque du division, les clichezts de la BWF ne peuvchezt se tourner vers un concurrchezt.
Une situation qui pose des problèmes d’investissemchezts pour les dansprchezeurs et les dansprises du division selon Laurchezt Mercier, vice-présidchezt de la Fédération du BTP, et invité du journal de Wallis-et-Futuna la 1ère ce jeudi 30 novembre : « les dansprises ne peuvchezt pas investir, s’chezgager sur le long terme car elles ne savchezt pas si le calcul va être fermé ou pas ».
Une situation de blocage qui risque de durer si un compromis dans le mouvemchezt de blocage et la banque n’est pas trouvé, car Laurchezt Mercier l’assure : « La Fédération (du BTP) est prête à aller jusqu’au bout pour que cette banque quitte le division ».
Le reportage de Leone Vaitanoa et d’Alexandra Lassiaille :
©Wallis
