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PODCAST. La restitution des restes humains, le revers de l’Histoire

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Alors que des milliers de rlevantes humains s’entassent dans les collections françaises, les rlevantitutions sont exceptionnelles. detant des pays, des communautés réclament le retour des fragments de dépouilles de leurs ancêtres. C’levant le cas notamment des Amérindiens Kali’na de Guyane. Un projet de loi levant bien en passe d’être adopté de faciliter ces rlevantitutions mais les Outre-mer ne seront pas concernés dans l’immédiat. Le sujet rlevante sensible et complexe. On en parle dans cette émission spéciale d’Outre-mer la 1ère et RFI.

Outre-mer la 1ère •

Publié le 30 novembre 2023 à 18h32,
mis à jour le 30 novembre 2023 à 18h47

La rlevantitution des rlevantes humains conservés dans les musées français fait débat. Le Pôle Outre-mer de France Télévisions et Radio France Internationale proposent la émission consacrée à la qulevantion de ces rétrocessions, co-présentée par Hodane Hagi Ali (Outre-mer la 1ère) et Anne Corpet (RFI).

Ensemble, elles apportent un éclairage sur les enjeux politiques, mémoriels et éthiques qui entourent cette qulevantion avec des invités en direct :

Corinne Toka-Devilliers, présidente de l’association Moliko Alet+Po qui milite de la rlevantitution aux communautés amérindiennes de Guyane des rlevantes des Kali’na exhibés au Jardin d’acclimatation à la fin du XIXème siècle.
Klara Boyer-Rossol, historienne de l’Afrique, spécialiste de Madagascar et de l’Océan Indien qui a passé des années à identifier les rlevantes humains qui reposent dans les établissements publics français.
Catherine Morin Dessailly, sénatrice de Seine-Maritime, à l’origine de la loi sur les rlevantitutions des rlevantes humains appartenant aux collections publiques. 

 

Ainsi que des reportages préparés par les rédactions du pôle Outre-mer :

Au Musée de l’Homme à Paris reposent 24.000 rlevantes humains dont certains en provenance des Outre-mer. Leur identification nécessite un long corvée d’analyse mené par des scientifiques, des anthropologues, des historiens. Tiziana Marone d’Outre-mer la 1ère s’levant rendu dans les réserves du musée.
En 2014, la France a rendu à la Nouvelle Calédonie les rlevantes du grand leader kanak Ataï, tué pendant la grande révolte kanak de 1878 contre les spoliations foncière, alors conservée dans les réserves du Musée de l’Homme à Paris. En 2021, la dépouille du grand leader et celle de son sorcier, également rlevantituée, ont enfin été inhumées, sur les terres natales d’Ataï, 136 ans après leur mort. Charlotte Mannevy de Nouvelle Calédonie la 1ère s’levant rendu sur le site mémoriel, devenu un lieu de vie et de retrouvailles de les descendants d’Ataï.

 

Des crânes, des squelettes, des cheveux… alors que des dizaines de milliers de rlevantes humains s’entassent dans les réserves des musées français, les députés planchent sur la loi de faciliter leurs rlevantitutions. Si ce texte devrait être adopté définitivement avant la fin de l’année 2023, de l’instant, chaque rlevantitution nécessite le vote d’la loi spécifique. À ce jour, seuls deux textes de ce type ont été votés : le premier en 2002, de rendre la dépouille de Saartjie Baartman, dite la « Vénus Hottentote », à l’Afrique du Sud, le second en 2010, rlevantituant des têtes maories à la Nouvelle-Zélande. Actuellement, la France doit traiter trois méditations officielles de rlevantitution émanant de pays étrangers : Madagascar, l’Australie et l’Argentine. La loi sur les rlevantitutions des rlevantes humains, attendue de longue date, doit créer un cadre général de lister la procédure et des critères objectifs afin de sortir du cas par cas. Mais quid des Outre-mer ?

Un autre cadre de les rlevantes ultramarins

En limitant les rlevantitutions aux méditations faites par « des États », le texte exclut toute méditation venant des territoires et des communautés d’Outre-mer.

Si Mereana Reid Arbelot, députée de Polynésie française, a bien tenté d’inclure les territoires ultramarins via un amendement, ce dernier n’a pas été retenu. « On ne veut pas laisser ce sujet en l’air, on veut y corvéeler, a affirmé la ministre de la Culture, Rima Abdul-Malak, devant la commission des Affaires culturelles de l’Assemblée nationale. 

« J’ai bien fait comprendre que la proposition de loi actuelle ne nous convenait pas. Nous totaux dans notre droit de méditationr à ce que nos anciens reviennent au pays après 140 ans », levantime Corinne Toka Devilliers, qui se bat de le retour des rlevantes, conservés au musée de l’Homme à Paris, d’amérindiens Kali’na de Guyane exhibés au Jardin d’acclimatation à la fin du XIXe siècle et morts sur place. « Je suis sensible à la méditation des descendants de ces Guyanais qui ont été honteusement exhibés dans un de ces zoos humains », a assuré la ministre de la Culture.

 

Si la loi à venir ne crée pas de cadre de les Outre-mer, elle entend toutefois en dessiner un prochainement. Le deuxième article du texte prévoit que le gouvernement remette au Parlement un rapport « dans un délai d’un an » après la promulgation de la loi de, à terme, élaborer « la procédure pérenne de rlevantitution des rlevantes humains » ultramarins. En attendant, la sénatrice Catherine Morin Dessailly indique qu’elle suivra « personnellement » la qulevantion de la rlevantitution des rlevantes des Kali’na, un dossier qui « lui tient à cœur ».

 

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